Sur scène, Laure Genthialon brille en solo, en musique de chambre ou au sein d’orchestres presti­gieux comme l’Orchestre National de France à la Philharmonie. « Dès qu’on m’appelle, j’y vais », confie-t-elle, ani­mée par son amour de la harpe. 

Laure casse les clichés d’un instrument per­çu comme monotone : « La harpe peut être aussi puissante qu’intime ». Ses interprétations, comme ses trans­criptions de La Balade, de Chopin, en révèlent toute la richesse sonore.

Issue d’une famille de musiciens, Laure débute la harpe à 7 ans. Aujourd’hui, elle enseigne aux enfants dès 6 ans, cherchant à transmettre plaisir et ri­gueur : « Je veux qu’ils découvrent que la patience et l’effort les accompagne­ront toujours ».

Créative, elle collabore avec Isabelle Debauve, professeure de chant au Conservatoire, et Mathilde Desvaux, altiste qui y a aussi enseigné l'alto, sur un programme musical pour Pâques, mêlant le sacré et le joyeux, qui sera jouer dans une église parisienne. 

Tou­jours curieuse, Laure rêve d’unir harpe, danse et théâtre : « Faire se rencontrer les arts est une source infinie d’inspi­ration ». Un engagement qui inspire autant qu’il fédère.